Le titulaire de la chaire UNESCO d’Afrique centrale ACCES TIC, Armand Claude Abanda, a signé dans ce sens ce 13 juillet, à Libreville, au Gabon, une convention de partenariat avec l’université des sciences politiques et de management.
Par cet acte, de nombreuses perspectives s’ouvrent assurément pour l’économie du pays. Armand Claude Abanda relève dans ce sens que : « Cette autonomisation va pouvoir permettre aux jeunes et aux femmes d’être de véritables créateurs de richesses, créateurs de valeurs et de véritables innovateurs ».
Sur le plan académique, il s’agira, affirme-t-on, de concevoir des programmes de formation adaptés aux missions de la chaire Unesco. Un défi que l’université des sciences politiques et de management de Libreville est d’ores et déjà prête à relever, à en croire le titulaire de la chaire UNESCO d’Afrique centrale ACCES TIC qui rassure:« Nous avons rencontré beaucoup d’engouement ici à Libreville ».
Rappelons qu’il s’agit de la suite logique des premiers pas effectués par cette université de l’UNESCO au Gabon, après la formation et la remise des diplômes, il y a quelques jours seulement, à 200 jeunes à Oyem dans le chef-lieu de la province du Woleu-Ntem.
D’autres pays à visiter
La signature de cette convention au Gabon intervient après celle du Congo où le partenariat avait été conclu entre l’Université Denis SASSOU-N’GUESSO de Brazzaville et la Chaire UNESCO ACCES TIC d’Afrique Centrale avec pour objectif, selon Armand Claude Abanda, de mettre en place une véritable collaboration pour former un maximum de jeunes Congolais et des jeunes venant des autres pays de la sous région.
Ainsi, après ces deux premières étapes, le titulaire de la chaire, par ailleurs, Représentant-Résident de l’IAI-Cameroun, affirme que d’autres pays vont bientôt bénéficier de l’expertise de l’université dont il a la charge, comme le Tchad, la Guinée équatoriale, la République centrafricaine et l’Angola.
Aline-Florence Nguini